Depuis quelques années, des liens avec l’alimentation ont été mis en évidence concernant les troubles du développement de l’apprentissage et du comportement comme le déficit d’attention/hyperactivité, la dyslexie et la dyspraxie, même si cela ne constitue qu’une des multiples pistes à l’origine de ces dysfonctionnements.
Les « bons gras »
Certains gras sont dits « essentiels », car notre organisme ne peut pas les fabriquer par lui-même. Il faut donc combler ces besoins par l’alimentation ou par des suppléments. Les deux acides gras essentiels, dit gras polyinsaturés (de type oméga-3 et oméga-6) sont connus pour être des composants essentiels pour la constitution et l’intégrité des membranes cellulaires, le bon fonctionnement des systèmes cardiovasculaire, cérébral, hormonal et inflammatoire, etc. La consommation et l’absorption d’oméga-3 et d’oméga-6 permet donc au corps de fabriquer des substances primordiales pour le bon fonctionnement de notre organisme.
Source : Passeportsante.net
Il existe plusieurs types d’Oméga 3 dont :
- ALA : Acide Alpha-Linolénique – apporté par les huiles végétales
- EPA : Acide eicosapentaénoïque – d’origine marine (poisson gras)
- DHA : Acide docosahexanéoïque – d’origine marine (poissons gras)
Les Oméga-3 sont particulièrement importants pour le développement du système nerveux et le maintien des fonctions cérébrales mais participent aussi au bien-être émotionnel en réduisant le stress et la fatigue.
Parmi les oméga-6, seul l’acide linoléique (AL) est qualifié d’« essentiel ».
Les acides gras polyinsaturés sont de « bons gras », car ils protègent la fonction cardiovasculaire, mais dans l’alimentation occidentale, le rapport oméga-6/oméga-3 est beaucoup trop élevé. Cet excès d’oméga-6 empêche l’utilisation optimale des oméga-3 par l’organisme, car ils se concurrencent. Donc attention au ratio Oméga 6/ Oméga 3 !
Déficit en Oméga-3
Plusieurs études révèlent que les enfants souffrant de troubles de l’attention et de l’apprentissage semblent avoir un niveau plus bas d’acide gras oméga-3 que les autres.
Uné étude menée en Grande-Bretagne en 2005 (Oxford-Durham) sur des enfants âgés de 5 à 12 ans présentant des troubles de l’apprentissage et bénéficiant d’une supplémentation en oméga-3 (versus placebo) durant 3 mois a démontré :
- une réduction de l’agitation et de l’impulsivité
- une réduction de l’anxiété et des difficultés sociales
- une amélioration de l’apprentissage et de la lecture (3 fois plus rapide)
- une amélioration de l’apprentissage de l’orthographe (4 fois plus rapide)
Nous ne consommons pas assez ces nutriments essentiels ! Il convient donc de mieux choisir ses matières grasses, en réduisant l’apport en acides gras saturés comme l’huile de palme, le beurre et d’augmenter notre consommation d’acides gras insaturés, et en particulier les Oméga-3.
Où trouver les bons gras ?
Dans les huiles végétales principalement qui sont source d’oméga -3 (colza, lin…) mais aussi en augmentant notre apport en poisson gras (maquereau, sardine, saumon…) et dans les huiles de poissons.
Oui MAIS !
Rares sont les enfants qui mangent du maquerau et des sardines non ?
Et comment leur faire consommer toutes les huiles végétales nécessaires sans acheter 5 bouteilles et surtout quand ils ne mangent pas de salades ou de crudités ?
C’est le cas des miens en tout cas ! Alors je suis obligée de les feinter, oui j’avoue ! Mine de rien, j’inclus dans leur alimentation des lipides, du bon gras !
COMMENT ?
Grâce à une petite découverte, l’huile ENFANTS Quintesens, qui regroupe en une seule bouteille 4 huiles végétales biologiques (huile de Colza bio, huile de Tournesol Oléique Bio, Huile de Tournesol Bio, Huile vierge de Lin) et une huile marine (huile de poisson sauvage désodorisée et purifiée).
Hop, un peu d’huile dans la soupe avant de la servir
ni vu, ni connu…
Hop, un peu d’huile dans la semoule (à la place du beurre)
toujours ni vu, ni connu…
L’huile n’a pas de goût prononcé donc ne dérange pas les enfants et ils ne se rendent pas compte quand j’ajoute un peu d’huile dans leurs assiettes !
Cette huile a une très faible teneur en acides gras saturés et un bon ratio Oméga 6/Oméga 3 donc vous ne contribuerez pas à l’augmentation de l’obésité infantile sur terre mais vous contribuerez surtout à apporter simultanément tous les acides gras essentiels indispensables à l’équilibre alimentaire de vos enfants tout en favorisant leur croissance et leur bon développement.
Avec seulement 2 cuillères à soupe par jour, les 3/4 des besoins en Oméga 6* sont couverts et 95% des besoin en Oméga 3 ALA* (celui qui est nécessaire au bon développement cérébral et moteur !) sans oublier l’apport en DHA, l’oméga 3 marin indispensable au bon développement du cerveau, du coeur et de la vision !
*Apports Nutritionnels Conseillés. Moyenne 3 à 9 ans. Source ANSES 2011
Cette huile peut être utilisée aussi bien chaude que froide (assaisonnement de salades, dans des sauces, lors de cuisson douce, au four, en filet sur des pâtes…) mais on oublie la friture !
Les huiles Quintesens se trouvent en magasin bio ou sur internet, voici la liste par ici.
Quintesens a pensé à toute la famille avec une huile pour chaque tranche d’âge, à commencer par l’huile Spéciale Future Maman que j’utilise et dont je vous parle dans mon autre blog Ma Vie de Special Mother : http://wp.me/p5g4f2-7M

En résumé : 10/10 pour les huiles Quintesens, un allié naturel pour que nos enfants ne soient pas en carence des nutriments essentiels à leur bon développement et pour éviter de leur donner encore des compléments sous forme de cachets. Une façon simple d’apporter du bon gras à nos petits fantastiques, souvent agités, qui ont certainement des taux plus bas d’acides gras oméga-3 que les autres enfants (d’où plus de colères, plus de problèmes d’apprentissage, de santé, d’insomnies…).
On sait bien que ce n’est pas le remède miracle mais avec les huiles Quintesens on est certain de ne leur apporter que du bon !
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