ou des schémas …. mais quels schémas ? pour ne pas compliquer le problème …
Nous avons fait plusieurs tentatives pour essayer de clarifier les problèmes mais est-on toujours allé dans la bonne direction ? Parfois, il me semble, on a dû l’embrouiller !
Après beaucoup de réflexion et d’aide de l’orthophoniste surtout, nous sommes arrivés sur une méthode de résolution de problèmes avec
- verbalisation (indyspensable)
- construction d’une évocation mentale (tout aussi indyspensable pour Léo!)
- un postulat de départ : « Ce qui est intéressant c’est que tu te rendes compte comment tu fais dans ta tête, on regardera la question après » (phrase-clef donnée par l’orthophoniste)
- Concernant l’addition ( ou lien d’union) , le schéma ne nous a pas paru nécessaire.
- Concernant la transformation d’un état : On peut bien sûr utiliser un autre support qui permet d’analyser la situation, Léo l’aime bien , le voici
Ce support permet d’indiquer ce que l’on a au début (la situation initiale) puis l’action ( ce qui se passe : exemple on en ajoute 2 : écrire l’action , le signe de l’opération) et de trouver la situation finale (après ou à la fin).
On pourra ensuite, avec ce même schéma, trouver l’action quand on a la situation initiale et la situation finale, et en dernier lieu trouver la situation initiale quand on a la situation finale et l’action ( dernière étape car bien plus compliquée ….)
3. Concernant la soustraction (ou lien d’inclusion : notion pas si simple et où le vocabulaire mathématique a son importance… ), le schéma peut être utile et peut être amené en fin d’approche . Cela concerne les problèmes de type :
Il y a 30 moutons, des noirs et des blancs.
7 de ces moutons sont noirs.
Combien de moutons blancs y a-t-il ?
Indispensable d’installer ce « de ces moutons » avant d’amener le schéma ( que l’enfant prendra ou non !)